ladivaB

Elle sans le dire n'en n'avait rien fait.

Marre des agressions incessantes.Vouloir, pouvoir, choire, espoir, mouchoir.

Le long de ses cheveux filasses, grâce à la trace.

S'extirpe du néant et y retourne précipitament.

Personne.

Vide à plein nez. Nez à pleines rides.

Renfermée dans l'embrasure de l'ouverture.

Exit.

Elle et Lui.

 Là ça se corse, comme une écorce qui n'a pas pris son pesant de nature.De maturité aux nouveaux nés.

Ils espectorent les glaires sans glaive des années.

En chie leur gueule de n'être pas, à temps et cherchent vainement.

Le grall de la poursuite du sablier, sans se lamenter.

C'est dur, et tendre à la fois de sortie du schéma.

Pas choisit, subit.

Mais là, pas.

Lui, il avait grandit.Rosit de la dernière pluie. Evide âme an.

Il ne savit plus trop qui il était.Mais vraiement, il ne lui en aurait pas fallu tant.

Rose à l'âme et dans le vent. Pas chercher plus loin. Pas vraiement. Laiser le temps au temps évidement.

Il ne savait plus, n'avait jamais su et se rappellait pourtant.

Alors que faire dans le fir maman?

Attendre, suspendre, s'épendre et puis...

Se pendre.

Mais non, pas, au delà du ça , du quoi, du mat.

Echec.

Ne savait pas.Il s'en serait fallu de peu. Mais le gueu n' a pas su s'y prendre.

Retour à la case départ, tant pis.

C'est fini.

Fera mieux la prochaine foi, fois,foie.

Alerte la voix, voie.

Le poids charrie et charge du lourd sans détour.

Pour.

Elle,elle avait bleui avec le temps. Les années passant, elle trouvait la couleur du temps.Grandir et ne pas s'en dépétrire. Coûte que coûte, pas tant que ça ou tellement en vérité. Tout dépend du regard porté. S'affermir, se grandir, être tout simplement;

Mais comment faire avec une enfant? Apprendre la voie du juste milieu. Oeuvrer encore et encore , inlassablement avec toutes les imperfectudes et lasse, sans place, trouvée l'espace temps.

Se raffermir et s'affirmer pour exister tout simplement.

Pas si simple, as de pique et pique de trèfle.Mais le coeur au carreau, il faut se lever tôt.

L'avenir, il parait appartient à ceux, là.

Alors que dire, en faire et pique le lasso.

Dans la pampa des sparadras, touver la bande qui répare, sépare ce qu'il faut , mais point trop n'en faut.

Alors, un aurevoir sans retard et attendant la suite des poursuites. Tchao o o.

Orange, la terre bleu.

L'herbe qui verdoit. C'est l'heure du choix. Aimer.

Elle avait souri de ces plus belles dents, même cariées.

Demain serait orange ou ne serait pas.

Et puis voilà.

Tangue le navire, hissez haut la voile et prendre le large.

Si trop étroite s'abstenir.

De l'envergure, du panache, de la grandeur.

Etriquée dans sa tête, elle n'avait su être fiable.

A personne d'ailleurs et surtout pas à elle-même.

Elle avait courru, se fuyant elle- même jusqu'à disparaitre.

Et c'est là qu'elle était née. Morte.

Orange, elle avait pu se fondre dans le bleu du ciel et de la mer.

Un nouveau jour, épuisée mais bien vivante cette fois-ci.

Ca y est, ils y étaient. Dans la spirale du  grand flou qui les feraient naitre à eux même.

Lui, elle, elle, lui, lui, elle. Mouvement rotatoire garanti, accrochez vos ceintures, c'est parti.

Marre des agressions perpétuelles qui blessaient l'amour.

Marre du temps qui passe et qui n'arrange rien.

Marre des ornières et autres faux semblants pour être dans l'air du temps.

Juste Etre.Etre justement.

Une urgence d'exister, un appel d'air, un cri dans le silence.